Poème de l'Abbé Quimonte d'après Baudelaire :
Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille.
Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille.
Tu réclamais le Bruit, tu vas être servi :
Des vacarmeux d’enfer envahissent la ville,
Les uns portant la bombe les autres les amplis.
Pendant que des aubains la multitude vile,
Sous le fouet de la Haine, ce bourreau sans merci,
S’en va mettre le feu aux voitures des serviles,
Qui seront tous roussis s’ils ne sont pas occis,
Ma douleur entends tu exploser dans les rues
Les pétards balancés à la tête des vivants
Et les morts réveillés par tous ces malotrus
Marianne sans défense violentée sous une arche,
Sa Bastille relevée par ces gens du Levant ?
Entends, ma chère, entends l’immigration en marche.
Hymne sublime à Caroline F, la nonne des connes, La Beauvoir saphique du 21 ème siècle... Mon Dieu, craignons le pire, qui sera sa Sartresse ?
Je vous salue, insticastrutrice, pleine de bonne conscience,
Paris-Plage et la Gay Pride sont avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes détestant les hommes
Et le néant, fruit de votre absence d’entrailles, est cul-bénit.
Sainte Caroline, Foutresse du Bien,
Priez pour nous, pauvres fafs,
Maintenant et à l’heure où nous voterons pour le Front National.
Ainsi soit-il, sans vouloir te commander, parce que hein, ni Dieu ni Maître !
Sébastien de Rouen , d'après le "Je vous salue Marie".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire