lundi 22 août 2011

Un pauvre type


 Sarközy-Mallah ou les prémisses du langage. Le vraisemblable chainon manquant entre le singe  et l'homme. Et observez derrière, l'assemblée simiesque, la bande de pleûtres, la  cour des cons, qui  s'esclaffent aux bourdes de leur pitoyable maitre et pitre ! Toute la détestation que cet immigré inqualifiable a de la France, transpire dans son maniement lamentable de la langue  de Molière. Avocat, ce corniaud ? Il l'a eu où son diplôme, dans une pochette-surprise ? Mon Dieu, face à la sottise et à l'aveuglement des français, on tremble déjà à l'idée de sa réélection, ou aux futurs succès  du Porc Beth Din qui, de l'autre côté de l'Atlantique, avec sa cocue la plus célèbre au monde, lorgne sur les côtes bretonnes, et sur quelques bigoudennes à trousser  ! Si un Dsk était élu, ce n'est plus Tristane, c'est Marianne qui, de force, taillerait la pipe et boirait la tasse. Qu'une entité simiesque comme ce sarközy ait pu atteindre le sommet du pouvoir souligne bien le degré de déliquescence de notre nation obnubilée par les medias et trompée par ceux qui en tiennent les rênes. En prime, bien qu'en second,  une petite vidéo  conspirationniste, bien de chez nous !

1 commentaire:

  1. Comme vous avez raison !
    De l'importance du langage...
    Le président d'Israël pour la France s'exprime comme un con simplement car c'en est un.
    Il est significatif de le voir ânonner avec difficulté les discours écrits par son nègre Gainot (?). Bien qu'il les ait répétés, on a alors l'impression qu'il ne comprend pas ce qu'il dit.
    Et quelle différence de niveau de langage avec son expression habituelle...

    D'autre part, la dégradation du langage est vraisemblablement souhaitée et orchestrée par l'élite car sa maîtrise est nécessaire pour formuler une pensée cohérente: en retirant aux gens les moyen de s'exprimer on les empêche de raisonner.
    C'est particulièrement notable chez les jeunes, victimes de la déliquescence de l'éducation nationale, devenue, comme l'a dit je ne sais plus qui, une usine à crétins.

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