Sy Rogers, qui dans sa jeunesse fut d'une beauté stupéfiante, est très intrigant, et par conséquent, fascinant. Son parcours, cependant, laisse La Brebis fort perplexe. Selon Sy, si l'on résume, Jésus l'a sauvé de son homosexualité/transsexualisme. Son approche de la foi est des plus étrange, elle semble très marquée par l'hystérie américaine. Au cours de vraies messes, Sy ne perd pas le nord, il remplit les salles, et fait son malin, tout en s'en mettant plein les fouilles. La Brebis est une vieille guenon à qui on ne la fait pas, Sy faisant toujours aussi tapiole, bien qu'il se dise désormais "hétérosexuel". Si je ne crois pas au bien-fondé de certaines valeurs Lgbt, dont certaines revendications effrayent, je n'ai pas plus confiance en ces prétendues libérations christiques. Dire que Dieu fonctionne comme une espèce de baguette magique est des plus osé. Que Sy souligne l'extrême difficulté de la condition transsexuelle est juste, mais pourquoi appesantir ce sort en ce qui concerne celles et ceux qui ne croient ni en Dieu, ni au Christ, ni à rien ? Le seul Amour dont nous avons la nécessité est celui de l'Être Suprême caché. Le reste est foutaises et sentiments impermanents.
La Galleuse Brebis Transgénique, quant à elle, rit sous cape, et va encore plus loin que Sy, en refusant la triste condition hétérosexuelle (famille, gosses, bonne femme, etc.) et l'affligeante condition homosexuelle (stérilité, milieu épouvantable, glorification insensée et immature de la jeunesse, etc.), ayant appris, de fait, à vivre sans Sexe ni Amour. La solitude est la seule condition qui lui soit supportable d'autant que cette dernière ouvre d'immenses perspectives, et permet de spiritualiser les sens, d'aimer en silence et en secret, sans avoir à subir passion, rejet, exclusion, désamour de l'autre.
La divine Orla est allée au bout de sa condition. Dieu a horreur des tièdes, La Brebis aussi, et Orla fut brûlante, son Feu sacré a fait d' elle une Déesse, une initiée et une incomparable fille de Dieu, qui depuis Le Ciel aura envoyé à plusieurs d'entre nous, des signes des plus simples au plus extraordinaire, que je tairai. Gloire éternelle lui soit rendue.
Il va de soi que je reviens sur ma permission du 29 juin, concernant "l'Occultisme trouduculier"...
RépondreSupprimerNoté, cher Abbé !
RépondreSupprimerSans rancune I hope, mon cher Le Gall
RépondreSupprimerla dragée est un peu amère, mais je vous pardonne !
RépondreSupprimerMais enfin Le Gall, vous m'avez abandonné, à l'heure la plus sombre
RépondreSupprimerQUOI ? MOI VOUS AVOIR ABANDONNE ? MAIS QUAND ? A QUEL SUJET ? Y AURAIT IL UN EPISODE QUE J AI RATE ? J AI ETE ABSENT DE LA TOILE POUR VOYAGE EN BRETAGNE PENDANT 10 JOURS (même si j'ai posté très vite qq petits articles) mais abandonné...je ne saisis pas, mon si cher abbé !
RépondreSupprimer- Innocente brebis ! Aurais je été injuste ?
RépondreSupprimerL'aurais je accablé à tort cet agneau virginal ?
- hé Sans doute si elle était absente...
Le Gall, alambicat articolul dar, am inteles. Te imbratisez si noapte buna, Odorica
RépondreSupprimerLa solitude t'inspire... Le problème entre homme et femme, c'est que tot ou tard s'installe un rapport de force, et c'est très déplaisant. Heureusement qu'on ne peut pas faire un bras de fer tout seul, alors effectivement peut-être que la solitude est la solution....
RépondreSupprimer@ùerci Argoat mais je n'ai aucune inspiration. Par ailleurs, je suis bien trop fragilisé ausi pour supporter des déboires amoureux.
RépondreSupprimerRingo chantait "trop fragile trop belle pour rester seule, tu ne vis ta vie qu'à moitié". La brebis est trop faible pour risquer d'être dévorée.
Un repli défensif sur soi-même peut être salutaire pour une durée de quelques mois, quelques années ou pour toujours. Et m*rde aux gens heureux ('',)
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