Brebis en Mal de Boris
"Un seul être vous manque et tout est dépeuplé"
Accoler Boris Le Lay à Barbara, fallait oser. La Luce en a rêvé, La Brebis l'a fait ! Boris, plus aucune nouvelle, et personne, semble-t-il qui, de près ou de loin, ne le réclame ? Et puis, merde, au diable les principes, La Brebis amoureuse le bêle par monts et par vaux :
"Dis, Boris, mais quand reviendras-tu ? Dis, au moins le sais-tu, que tout le temps qui passe ne se rattrape guère, que tout le temps perdu ne se rattrape plus ?"
"Bouche plus suave que le miel
Au creux des ruches amassé,
Bouche plus vive que les hauts pavots
Parmi la prée,
Au creux des ruches amassé,
Bouche plus vive que les hauts pavots
Parmi la prée,
Accole, ô sa bouche, rebaise la bouche mienne,
Que tout forcené je devienne! "
Que tout forcené je devienne! "
J. MORÉAS, Poèmes et sylves, 1896.
Précision : c'est une allégorie fraternelle, et non pas une ridicule complainte amoureuse !
J'ai lu ses derniers messages ou il annonçait une sorte de pause. Pas de panique il y a du lourd et internet est une toile ils ne nous auront jamais.
RépondreSupprimerLe Gall, frumoase versuri. O SEARA FRUMOASA, te imbratisez, Odorica
RépondreSupprimerLoin de moi l'envie de te faire de la peine, mais où qu'il soit, ton Boris est sûrement en train de séduire des gonzesses.... Courage !
RépondreSupprimerMais Argoat, qu'est-ce que tu me racontes-là comme sottise ? tu prends tout pour argent comptant ! J'ai une affection fraternelle pour ce petit, et qui n'a rien à voir avec des histoires de coeur ! Et j'espère bien pour lui qu'il se tape des gonzesses...
SupprimerJe plaisantais voyons...
RépondreSupprimer