BHL, le vrai modèle de Soral : la même hargne, le même ego !
Empire et Anti-Empire. Matière et Antimatière se rejoignent. Soral défend une idéologie qui a son sens mais dont il désire est le point central, la figure de proue. Mi-écrivain, mi-homme politique, mi-figue, mi-raisin, jonglant avec les étiquettes, son narcissisme par contre est lui, totalement resplendissant, il a raison de lui et dessert en grande partie son discours, son allégeance pitoyable à l'Islam de France, qui équivaut à une dévaluation de la chrétienté, rejoignant en cela les frères trois points, aussi. Ce défaut n'empêche ni son intelligence, ni sa perspicacité sur notre civilisation, mais là où il est aveugle, là où il y a angle mort, c'est en ce qui concerne ce qui lui est le plus proche : lui-même. Il joue trop au fier-à-bras, au boxeur, au surhomme. En se congratulant excessivement de la sorte, en postant son image obsessionnelle et grandiloquente aux quatre coins de son site, la dite-Quenelle, il se l'auto-file. E et R ne sert plus en effet plus que de prétexte de la valorisation du Chef de cette meute. Soral se gourouise. Ses anciennes années de gauchiste lui remontent, succès aidant, à la tête. Soral se voit aux Olympes, parmi les Dieux. Il est le bussiness-man de sa propre image. Heureusement qu'il a quitté le FN, il y aurait fait de gros dégâts. Dommage. Très dommage.
c'est vrai qu'il a toujours eu une haute idée de sa personne.
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