jeudi 10 novembre 2011

texte

Au début, j'ai eu peur, peur de l'ouvrir, peur de risquer d'être lu, par des inconnus malfaisants, ou des personnes que j'aurais connues et parfois aimées saisies d'effroi, peur de révéler ce que j'avais saisi de la petitesse des maçons, mais de leurs dévorantes ambitions, du poids faramineux de la pensée et et de la finance juives, de la fabrication artificielle et de l'aliénation de la communautée guée qui porte des valeurs auxquelles, je ne crois pas, de trop en dire sur ces mouches à merde de chrétiens sionistes, qui soutiennent un des projets les plus apocalyptiques de l'humanité, à savoir le sionisme, ou encore sur le danger du NOM, sur l'abomination de l'envahissante sous-culture américaine. etc. Désormais, je n'ai plus peur ! Après avoir reçu, non pas des flots, mais des ruisseaux d'insultes de la part de personnes qui m'étaient connues ou inconnues, je sais quelle est la nature de ce combat : la guerre contre ce qui éloigne de la vie intérieure, contre la tricherie ! je profite de mes maigres forces pour distiller cette connaissance. Être honni, haï, rejeté est un luxe ! Par conséquent, menaces et insultes de maçons, de juifs pro-israël, de gués, de gougeats... que j'ai reçues ne m'impressionnent guère plus, je soupçonne même le psychisme de s'en nourrir, et d'en faire son nectar. Brassens est un con, mourir pour ses idées, n'est-ce pas là, une très belle mort ? Merci donc à qui de droit ! Pour ouvrir une porte, une clef est nécéssaire, je vous en file un trousseau, des fois qu'il y en aurait plusieurs de portes :

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