Le très obséquieux et visqueux DSK, qui n'a jamais caché ses ambitions présidentielles, ni son appartenance à tout ce que le monde compte de hautes sociétés, anciennement secrètes et transnationales, ni son affection particulière pour Israël, n'apprécie semble-il pas qu'on lui mette des bâtons dans les roues. Il envoie ses sbires jusques au coeur des maisons d'édition parisiennes. Décidément, la littérature et la liberté d'expression ont du souci à se faire. Pour Céline et Cassandre, hip hip hip, hourrah !
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