Beaucoup de bruits pour rien

LGBT, pas contents, Brebis, elle, rire beaucoup ! La divine Orla en eut été hilare.

En Bonus ! L'excellent(e) Gallienne (sic)

Si La doulce Brebis aime bien titiller les Lgbt, en revanche, et bien qu'elle ne comptât pour ainsi dire pas de lecteurs homos, elle ne dit plus du mal d'eux, car, parmi les militants du lgbtisme, l'on recense   des personnes  sensibles et écorchées, que le mal de vivre fait tanguer, et  que la Brebis, volontiers carnivore, agressive et vorace, ne tient pas à écorcher encore plus. Agressivité n'étant nullement  synonyme de Méchanceté. Le milieu gué est abusivement considéré comme un lobby, et comme le dit si justement La Luce, il n'est lobby que s'il se fond et se confond avec la maçonnerie et la juiverie. Ce n'est pas le fait d'être pédé ou gouine, qui fait ou fera, que quiconque se trouve une place au soleil, c'est le fait d'être coopté en loge ou d'avoir des origines hébraïques. Les pédales, de Bern à  Fogiel, de Mitterrand à Lang, qui sont mises en avant, le sont du fait de leur filiation au Talmud. Une lesbienne comme la Fourest, anti-Tarik Ramadan, anti-le Pen, sert les intérêts d'Usraël, et cette garce à la tête de fouine le sait ! Le point obscur  dans le Lgbtisme reste néanmoins cette fusion contre-nature entre lesbiennes et gués  : qu'y-a-t-il de plus opposé que les Adoratrices de la Vulve, d'une part, et les  Adorateurs du Phallus, d'autre part ? A notre connaissance, rien ! Une seule fois, la pauvre Brebis midinette, qui n'est ni courageuse (une vraie poule mouillée), ni  réactionnaire (ce serait-il  réac de dévoiler certains  pot-aux-roses ?) s'est-elle inconsciemment égarée dans une boite lesbienne de Bastille, bien mal lui en a pris, elle a bien cru se faire lyncher et dévorer toute crue !

La Brebis au Coeur d'Or que lui confère la Kundalini