dimanche 5 juin 2011

Yop-là !


Deux intermittents du spectacle : les pauvres.

Voici un exemple de là où  l'Humanité a chu, et de là où sa  jeunesse  à la fois décervelée et idolâtrée se retrouve : dans le caniveau du lait pasteurisé. Regardez ce "jeune" et ce qu'il transbahute :  aucune tenue, aucune colonne vertébrale,  un mollusque, la  mollesse personnifiée, le shoot,  la  dignité d'un con, la voix grave d'un mâle prometteur,  le cheveu mal peigné, le baba 2011 ...  Toute cette immaturité  finira dans un bain, non pas de yaourt rose, mais de sang... Notez aussi les sous-entendus érotiques entre la "mère" et le "fils". Une thématique bien travaillée et décelée par le bon docteur Ryssen. "Mais, c'est mon Yop" ! Et pourquoi pas un : "Tiens, voilà mon Zob, Zob,Zob, tiens, voilà mon Zob, Zobby  ! " ?  D'Evian à Yop en passant par Mac Do, l'on retrouve dans les réclames, l'idéologie a fortiori du "tittytainment", inspiré des travaux de Barneys (famille de Freud),  et des principes d'aliénation de masse,  du viol des foules, mis en mot dans les années 90 par un certain Brzezinski, décideur  extrordinairement puissant et pervers  : "Tittytainment".






2 commentaires:

  1. Bravo Le Gall
    Toi au moins, tu as tout compris sur les demons que sont les juifs.
    Non pas sionistes mais juifs!

    N.D.

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