Que reste t'il de ces beaux jours où la chanson et où la Vie avaient un sens ?
Dédié à MichELLe, l'Amazone itinérante de la Toile et qui s'y fait trop rare.
A GiLLEs, si aimé, jamais oublié, et dont j'ai découvert, 15 ans plus tard, au cours d'un rêve, le sombre secret.
A la petite Argoat du Trégor afin qu' elle déniche son bonheur ailleurs que sur le Net...
Dédié à MichELLe, l'Amazone itinérante de la Toile et qui s'y fait trop rare.
A GiLLEs, si aimé, jamais oublié, et dont j'ai découvert, 15 ans plus tard, au cours d'un rêve, le sombre secret.
A la petite Argoat du Trégor afin qu' elle déniche son bonheur ailleurs que sur le Net...
PS : Léo, des rumeurs circulent selon lesquelles, tu fus Inititié :. (ton "Ode à Satan" provient-il de là ?) on te le pardonnera, tellement le génie de la poésie t'aura hissé jusqu'aux Cieux éternels.
Où meurt la mer comme un chagrin de chair
Où va la vie germer dans le désert
Qui fait de sang la blancheur des berceaux
Qui se referme au marbre du tombeau
Cette blessure d'où je viens
Cette blessure
Où va ma lèvre à l'aube de l'amour
Où bat ta fièvre un peu comme un tambour
D'où part ta vigne en y pressant des doigts
D'où vient le cri le même chaque fois
Cette blessure d'où tu viens
Cette blessure
Qui se referme à l'orée de l'ennui
Comme une cicatrice de la nuit
Et qui n'en finit pas de se rouvrir
Sous des larmes qu'affile le désir
Cette blessure
Drapée de soie sous son triangle noir
Où vont des géomètres de hasard
Bâtir de rien des chagrins assistés
En y creusant parfois pour le péché
Cette blessure d'où tu viens
Cette blessure
Qu'on voudrait coudre au milieu du désir
Comme une couture sur le plaisir
Qu'on voudrait voir se fermer à jamais
Comme une porte ouverte sur la mort
Cette blessure dont je meurs
comme un soleil sur la mélancolie
Comme un jardin qu'on n'ouvre que la nuit
Comme un parfum qui traîne à la marée
Comme un sourire sur ma destinée
Cette blessure d'où je viens
Merci ! La fréquentation de nos congénères dans la vraie vie est parfois lourde et ennuyeuse. Le Net peut mener à des rencontres intéressantes, à condition d'en sortir. Je n'espère plus être heureuse en ce bas monde, juste pas trop malheureuse avec de temps en temps des bons moments avec des amis, dans la Nature ou éventuellement dans sa relation avec Dieu pour les plus mystiques d'entre nous...
RépondreSupprimerLe texte ne sétait pas affiché hier sur mon téléphone, c'est très beau en effet.
RépondreSupprimerA y regarder de plus près, après plusieurs lectures, c'est génial au sens fort du terme.
RépondreSupprimerMerci frangin pour ce clin d'oeil "Ferréique" divin.
RépondreSupprimerMême FM (?) comme Barbara (juive). A ces deux là, exceptionnellement, on pardonne.
A la fin de sa vie, Léo disait "la gÔche est l'anti chambre de la mort..." quelque chose comme ça, comme pour se laver à jamais d'une faute, d'une duperie...et essayer d'éclairer le monde sur les deux pires verrues que sont la juiverie et la maçonnerie.
Le goyim fait ce constat chaque jour....Nombreux sont ceux sous le choc...
Laissons les récupérer.
Merci la toile.
Merci à toi que j'aime.
MichELLe.
Allons, allons...MichELLe
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