mercredi 25 mai 2011


Que penser de nos élites ? Quel sentiment avoir à leur égard ? Qu'écrire sur leur compte ? ... Jusqu'à l'émergence du  Net, nous, les exclus du monde, n'avions aucun  moyen pour délivrer notre écoeurement et notre savoir en ce qui concerne ces puissants  fétides qui depuis des décennies ont corrompu jusqu'au coeur de nos institutions et de notre nation. En tant que breton égaré, l'allégorie de la brebis galleuse pesant  de tout son poids métaphorique, et qui a gravité dans les sphères de divers cercles "parisiens", on devine lesquels,  tous plus putrides les uns que les autres, et face à cette chienlit dont il aura  été l'observateur, il n'existe qu'une méthode : chevaucher le cheval d'orgueil et partir en guerre ! En étant plus précis, cela signifie, avoir, afficher, conserver pour ces élites, un mépris de radical,  incommensurable et inflexible,  ne lacher sur rien, faire de sa propre  âme une arme léthale. Surtout, ne pas avoir peur ! Tout comme les musulmans, ici on  ne craint que Dieu et la mort, celle de mes proches et la mienne. Le reste n'est rien ! La pire lignée mondiale que sont les Rothschild, les Soros, les Monsanto, les Rockfeller,  ne sont  en effet que peanuts  eu égard au cosmos. Foulons-les de nos pieds d'ange ! Les haïr serait néfaste, les honnir est  déjà plus fructueux, les mépriser, nous élève spirituellement, et à la finale, avoir de la compassion pour elles,  est le pinacle de ce que la Lumière demande de nous. C'est un exercice fort difficile : comment  retenir son bras pour ne pas assassiner fantasmatiquement des individus comme une Simone Veil, lauréate de tant de décorations qui sont autant de médailles de chocolat qui lui paraitront bien amères à l'heure de sa mort. La justice céleste s'en chargera. Face à la plèbe socialo-athée qui a pignon sur rue, je voudrais juste apporter quelque éclairage sur ma foi religieuse : elle vient de loin, non seulement de trèsloin,  elle est la conséquence d'évènements absolument dramatiques dans l'existence troublée que fut la mienne. Cette foi est nourrie des multiples expériences paranormales qui ont jalonné ma vie, et qui m'ont amené à considérer et surtout à constater  l'existence de plans dans l'Univers. Notre désespérance, la mienne aussi, vient que nos yeux sont trop rivés sur ce bas-monde, que nos incarnations flottent excessivement dans le jus saumâtre et le chaudron de la matérialité. La solution à nos maux, sera et guerrière et spirituelle. Elle passera par la destruction de cette civilisation, et l'accès à une autre, où la Vie sera remise au centre de nos préoccupations : celle de l'Humanité affligée tout autant que celle de nos animaux chéris qui souffrent un martyr scandaleux. Je confesse qu'un grand péché m'assiège : une misanthropie à toute épreuve, qui heureusement n'entâche pas l'amour que j'ai et  resssens, pour celles et ceux que j'ai profondément aimés.  Quand on en a bavé en profondeur, et dans son corps et que sa propre santé est  à jamais ébranlée,   il n'est que deux solutions : se foutre en l'air,  c'en est une, ou résister contre vents et marées. Cette résistance ne parvient à son apogée que dans la solitude, que dans le rejet des compromissions, que dans le ressourcement de la nature. On se découvre au fil du temps. Si j'avais continué de vivre à Paris, je serais clairement devenu un assassin, un vengeur qui aurait peaufiné des vengeances plus cruelles, et au centuple, que les humilations que j' aurais subies : certaines de ces vendettas auraient pu aller jusqu'au meurtre. Quelques coups de mitraillettes, quelque part du côté de la rue Cadet, par exemple. Ah, ah, ah ! Une pareille détestation du monde n'est pas le fait du hasard, il est le fruit d'expériences, savamment pesées, savament analysées, du moins avec les maigres moyens qui sont les miennes. Pour avoir le recul nécéssaire, il me fut impératif de couper en totalité avec ces sphères, qu'elles fussent juives, guées, maçonnes, intelectuelles ...et donc, perdre la quasi-totalité de mes amis, ou plutôt de ces illusions amicales.  En tant que scorpion, je fis très peur à certains, j'en ai même effrayé pas mal. Ces frayeurs et ces effrois ne furent  pas seulement liés  à ma petite personne, ils provinrent aussi de ce qu'à mon corps défendant,  je transportais : une cohorte d'entités invisibles et nocives qui perturbaient ma vie, au point aussi de perturber celles d'individus que j'approchais sans qu'il n'ait réellement conscience du pourquoi de leur révulsion à mon égard. La connaissance ésotérique et une certaine approche  de l'invisible, sont des matières très dangereuses à manipuler. J'en aurais fait les frais. En faire les frais signifiait aussi à force d'introspections, conquérir une terrifiante acuité qui confine au  vice : ne pas se satisfaire de la vie telle qu'elle nous était présentée , et encore et toujours creuser, en soi, et autour de soi, et oser se confronter aux forces souterraines dont les soubresauts agitent ce monde. C'est pour cela, entre autre, que je n'ai jamais gobé, les leurres du "progrès", le "bienfait" de l'avortement,  la présentation "joyeuse"  du monde gué, la promotion de la multisexualité tous azimuth, la ludicité factice de la société consumériste,  etc. Que de mensonges spirituels traversent les individus, des mensonges si ancrés que l'homme du 21 ème siècle,  en a fait ses vérités, ses règles, ses supports existentiels . La laïcité, le féminisme, la citoyenneté du monde, la fraternité, le métissage, l'anti-racisme ... fadaises maçonniques, poison mental ! Ce sont les élites qui ont infusé ces cochonneries aux tréfonds de notre esprit. Seule une extrême souffrance de l'Humanité sera à même de guérir les civilisations entrainées dans des folies qui mettent la nature,  notre seul socle fiable, en danger. Pour revenir à nos élites manipulatrices actuelles : elles devront absolument, et en urgence, et en totalité,   être saccagées,  massacrées,  détruites. Métaphoriquement ou matériellement. Puis remplacées. Ce serait faire preuve d'une grande foi et d'un grand amour pour l'Humanité, que d' éviscérer  ces franc-maçons, et leurs patrons financiers, et d'offrir  leurs boyaux au soleil. Il en va de notre survie.  Chérissez vos proches et vos animaux, mais faites-en sorte de toujours mépriser les élites, et de vous assurer qu'elles le sachent et l'apprennent, afin qu'elles commencent à être prises d'une panique qui, avant qu'elles ne soient écrasées,  leur soit salutaire.

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