Inexorablement, lamentablement,  la zombification guée se poursuit. Kennisé, américanisé, waltdisneysé, bodybuildé, tatoué, infantilisé ...  le cercle gué militant avance vers un néant et un désastre humains et spirituels, impensables il y a seulement 30 ans. Sous prétexte "d'orientation sexuelle", une vaste proportion de jeunes homos s'identifie  à un mode de vie consacré à la séduction, et une narcissisation creuse de soi. C'est pathétique. Si tout ce cirque devenait très perceptible, dans les années 90, là, nous approchons de l'apothéose. Cette identification progressive au corps, et à un vide musculeux déspiritualisé, est une manoeuvre absolument voulue et décidée en haut-lieu, et qui découle directement des travaux de Barneys, et des autorités invisibles du NWO. Les Lgbt dupés pensent ouvrer pour leur "libération". Ils sont par excellence, "citoyens du monde", ce fourre-tout idéologique, ils sont à l'avant-garde de la meute qui  gobe les lunes capitalistes les plus grosses, capitalisme qui, par exemple, fera la promotion d'un Che communiste, mais ne se risquerait pas à faire celle d'un Adolf, ou d'un Roberto. Pourquoi ? Parce que l'idéologie communiste n'est nullement dérangeante pour eux. c'est une voie de garage, une fausse révolte, et qu'elle est aussi apatride, mondialiste, et déracinée que son pendant capitaliste. Le magicien d'oz entraine les foules guées là où il le désire. Le cercle gué est imprégnée d' idéologie "révolutionnaire" et anti-aryenne primaire. Ce sont des générations entières qui sont ainsi détournées de valeurs fondamentales qui ont fait la civilisation. Il prône même la négation de la suprématie logique hétérosexuelle, hétérosexualité étant une construction idéologique et non naturelle. C'est stupéfiant.   En cela, il rejoint la connerie féministe la plus criante : Alonso et Le comble de l'anarchie érotique pilotée depuis très haut, étant le barebackisme (baise sans capote) interracial : le must ! qui finit par la contamination, et par des traitements qui plombent (sic) le trou de "sécul" !  La  prétendue libération est  aliénation. L'érotisation excessive du monde à laquelle on assiste, qui frappe jusqu'aux enfants, est   la négation de la condition humaine -vieillissement, maladie, l'éphémère de la vie- et de ses dimensions supérieures. Le lgbtisme  fait la place à un esprit Carpe Diem d'une affliction singulière qui frappe plus durement les franges intellectuellement et affectivement  les plus immatures. C'est sans parler de l'adulation pour les agents polluants que sont les vedettes que ce cercle, très volontiers adule. Le public étant la marionnette de ces vedettes, elles-mêmes marionnettes des marionnettistes qui les produisent et exhibent.

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