Cela peut sembler curieux, à E-Deo, qui sur le coup s'est malencontreusement étonné de notre existence, mais nous sommes d'accords avec eux, nous partageons leur avis de manière totalement décomplexée. Et pourquoi donc ? Parce que personne d'autre que nous-mêmes ne peut aussi bien évoquer le problème, parce que nous avons connu le milieu gay masculin de Paris : couples instables, infidélité à 90 pour cent... Parce qu'acun catholique lambda ne peut converser sur ce sujet autant.
L'alerte a sonné pour nous, et ce, depuis belle lurette, après avoir observé quelle était l'attitude, totalement immature et inconséquente, de la communauté face à l'épidémie de Sida. Les couples hétéroxuels ne donnent pas, certes, un exemple qui soit fameux : divorces, avortements, irresponsabilité des adultes par rapport à leur progéniture etc. Est-ce une raison pour en mettre une couche supplémentaire ?
En tous les cas, cette manoeuvre, car c'en est une, sous couvert de "libéralisme" ou de "liberté" est une manière à la fois habile et grossière d'attaquer la famille, la tradition, et de fouler au pied la chrétienté. C'est une magouille maçonnique dont les "gays" feront à la longue eux-mêmes les frais. A trop vouloir réclamer des droits et encore des droits, en omettant tout devoir, ou à trop exiger d'invraisemblables privilèges comme certaines Communautés ou fratries, les "gays" finiront par aller, si je puis dire, au casse-pipe. Tout comme Blanrue, ex-communard, met en garde le Crif, contre son excès de zèle, et c'est peu dire, je dirais tout aussi solennellement : "Gays, attention, danger, vous nous les gonflez" ! Quand on force à trop avaler de Chantilly, elle vous écoeure. Et les mouvements Gays-arc-en-ciel, associations de "droits del'hommistes" et autres Foutaises, finiront par mettre le feu ! Tout comme l'invasion migratoire...
En tous les cas, cette manoeuvre, car c'en est une, sous couvert de "libéralisme" ou de "liberté" est une manière à la fois habile et grossière d'attaquer la famille, la tradition, et de fouler au pied la chrétienté. C'est une magouille maçonnique dont les "gays" feront à la longue eux-mêmes les frais. A trop vouloir réclamer des droits et encore des droits, en omettant tout devoir, ou à trop exiger d'invraisemblables privilèges comme certaines Communautés ou fratries, les "gays" finiront par aller, si je puis dire, au casse-pipe. Tout comme Blanrue, ex-communard, met en garde le Crif, contre son excès de zèle, et c'est peu dire, je dirais tout aussi solennellement : "Gays, attention, danger, vous nous les gonflez" ! Quand on force à trop avaler de Chantilly, elle vous écoeure. Et les mouvements Gays-arc-en-ciel, associations de "droits del'hommistes" et autres Foutaises, finiront par mettre le feu ! Tout comme l'invasion migratoire...
Chacun est libre de sa vie, de son cul, et d'en crever même, mais les enfants demeurent absolument sacrés, tout comme les foetus pour lesquels, curieusement, il n'y a aucun "droit". Etrange, non, pour un monde qui ne cesse de prôner cette très franmaquesque idéologie.
Répétons-le, sans aucune démagogie, tout enfant a besoin, et d'un père et d'une mère solides, et basta. Les psys, dont on se fiche bien, diraient "d'avoir des référents". Les enfants ne sont pas des objets d'expériences. A dire vrai, on s'en tape royalement de ces études. Un homme avec un homme, une femme avec une femme, auront beau tournicoter dans tous les sens, la procréation leur est impossible. Pourquoi accorder le droit d'enfants à des couples qui A LA BASE n'ont pas la possibilité physiologique d'en avoir ? NON !
Quel monde de cinglés, celui qui considère l'avortement de masse comme un progrès, alors que c'est une destruction inommable et qui, en même temps, de façon perverse et faussement paradoxale, forge certains esprits à aspirer à l'adoption par des couples qui en ce cas par principe sont stériles. Combien d'enfants ont été massacrés dans le sanctuaire du ventre de leur mère par ces salopes infanticides et qui à la quarantaine ont opté pour l'adoption. Comment qualifier ces Médée des temps modernes ? Ce monde nous a leurré, qu'il ne s'étonne pas qu'on ait la dent féroce contre lui.
Quel monde de cinglés, celui qui considère l'avortement de masse comme un progrès, alors que c'est une destruction inommable et qui, en même temps, de façon perverse et faussement paradoxale, forge certains esprits à aspirer à l'adoption par des couples qui en ce cas par principe sont stériles. Combien d'enfants ont été massacrés dans le sanctuaire du ventre de leur mère par ces salopes infanticides et qui à la quarantaine ont opté pour l'adoption. Comment qualifier ces Médée des temps modernes ? Ce monde nous a leurré, qu'il ne s'étonne pas qu'on ait la dent féroce contre lui.
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