lundi 17 janvier 2011

Crif Via Gaëlle Mann

           Ce n'est plus le Titanic, c'est le paquebot France qui glisse dans ces eaux .



"Front National: le CRIF restera vigilant!

Jean-Marie Le Pen ne pouvait pas résister à la tentation de placer « un bon mot » pour fêter sa dernière journée de présidence au Front national, dimanche 16 janvier 2011 à Tours.
Il a donc choisi d’ironiser sur le nez d’un journaliste agressé par le service d’ordre du FN, puisque celui-ci était juif.
Nous comprenons que Jean-Marie Le Pen éprouve le besoin de montrer qu’il existe encore un peu et qu’il ne renonce à aucune de ses obsessions.
De même qu’il a assumé au cours de son discours l’intégralité de ses paroles passées, nous nous attendons à ce que Jean-Marie Le Pen en profère d’autres aussi nauséabondes dans l’avenir. Mais dans cette veine, Jean-Marie Le Pen qui inspirait jusque-là la colère, n’inspirera désormais plus que le mépris.
Le CRIF restera vigilant!
CRIF - 17/01/11"


"Vigilant. Vigilant" ! Il ne viendrait donc pas à l'idée à ce  Crif à la noix, que nous, bretons, on n'en aurait peut-être rien à carrer du Crif et de ses prérogatives ! Nous aussi, nous resterons vigilants quant  à ce réseau infâme que cette migale a tissé en plein coeur de la France, au profit de son seul vrai pays d'attache et de coeur : Israël. Le vrai peuple de France ayant lui à subir ses diktats. Crif, ne confonds pas les élites putréfiées et la France d'en bas. Nous, n'avons strictement aucun compte à te rendre.
"Nau-sé-a-bond", tiens, on vous le ressert, "nau-sé-a-bond", quelle réthorique d'une banalité ! Ils n'ont que ce terme à la bouche. On ne peut pas dire que cette association mafieuse brille par l'extension de son vocabulaire, et si la France la dérange, elle peut parfaitement faire ses bagages, et qu'elle emporte la LDJ et le Betar dans sa besace, et hop, direction Tel Aviv !

2 commentaires:

  1. @merci, mais, je n'ai pas d'avis sur tout, et je me refuse de dire une seule parole négative sur Marine

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  2. Monsieur Anonyme a grand raison : si c'est ni Sarko, ni marine, autant voter DSK. En France, il y a bien 65 M d'avis différents, manque de bol, n'en reste plus de deux ou trois à briguer le "portefeuille" présidentiel...

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