samedi 16 juillet 2011

Mon coeur de Brebis est sec !


Mort pour la  France ? USraël


Non, mort pour "l'axe du Bien" ! comme un imbécile, comme un bourrin, croyant servir   la France,  mort d'avoir bêtement servi les intérêts américano-sionistes ! J'en veux à ce jeune homme d'avoir été si bête, et d'avoir enfourné son destin et sa beauté aryenne, entre les mains de l'immonde finance internationale. Mort comme un Con, oui ! Et, hélas, mon propre coeur, désséché par tant d'épreuves terrestres, (quoique un crottin de Brebis très sec est plein de saveurs) ne présente plus de compassion pour autrui, même en grattant  dans le tréfonds de mon âme. Seuls les animaux me touchent. La pure sottise humaine me subjugue et me fout en rage ! Bande de leurrés et fiers de l'être. Ici et là, on pleurniche sur le  sort de Benjamin ? Ah, bon ! Sarközy, lui, s'en tape ! Les soldats aux ordres de l'israélo-américain Mallah-Sarközy sont   tellement stupides : ils récoltent hélas, le fruit de leur bêtise  !
Si un Hollande (aussi corrézien que la Brebis est tondue) ou si la vieille burne d'islamo-compatible Aubry passe, que les français crèvent pour de bon. A force d'être sot et aveugle, on tombe dans le précipice, que ces cons de franchouillards courent droit devant eux, et y périssent, comme dans l'allégorie des cochons possédés ! Après nous, le déluge, que voulez-vous ! Pas de pitié pour les ânes ! Pas une larme pour ce gars de Lorient ! Rien ! La Brebis est une peau de Vache, mais on lui en a trop fait baver, elle n'a plus dans ses glandes, ni larme pour pleurer, ni  salive pour mouiller ses bécots ! Ce pauvre gars s'est battu, en réalité,  pour les 3 ordures du dessous ! "3 belles faces" comme dirait  la Emma ! Vous les verriez sur un champ de bataille, ces faces de rats ? Non, ils sont bons, comme BHL, crapule parmi les crapules, à envoyer les troupes et les peuples autochtones, se faire massacrer au nom de la "démocratie", mon cul, au nom de la merde, oui !

Poem deleted, because of NO courtesy of L'Abbé Quimonte ! I do beg your pardon, Abbé, but this is my deep thinking  of it ! Follow the path, the poem is still right there :



















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