jeudi 20 mai 2010

Faute de désirs de le faire, je ne me suis jusqu'à présent que fort peu exprimé sur un évènement qui secoue diverses sphères, et plus spécifiquement les sphères gaies et chrétiennes, par le vrai choc des civilisations qu'il est en train  de manifester,  et qui risque, entre immigration suffocante, problèmes économiques flagrants,  d'être  une parmi les étincelles qui mettront le feu au poudre, car le monde occidental est à deux doigts de la guerre civile : les Kiss-In...
Non seulement, je suis scandalisé, je suis même horrifié !
Alors qu'on est à deux doigts du précipice, les Lgtb n'ont donc que ça à foutre !
La France, et une grande partie du monde  frôle le précipice économique, et les enfants de la société de consommation, ne trouvent rien à faire, au lieu de remonter leurs manches, que de s'enlever les bretelles et d'aller s'embrasser telles des limaces goulues, en face de lieux sacrés.
Ils ont beau se peinturlurer de rose, se barioler d'arc-en-ciel, je sais, et mieux que quiconque dans la réacosphère, la dimension tragique que revêt l'homosexualité.
Quelle est cette dimension tragique au juste ? c'est extrêmement simple !
 L'homosexualité n'est pas une sexualité de reproduction, ainsi, un couple de 2 femmes ou ou de 2 hommes qui s'aiment, et qui incluent dans leur amour cette dimension érotique, auront beau gesticuler dans tous les sens, aucun fruit n'en naitra.
Cette stérilité consubstantielle est, l'âge venant, ce qui m'a détourné, de manière d'ailleurs assez brutale, d'une sexualité qui tournait à vide.
J'ai eu la chance d'aimer mais de ne pas être aimé en retour, car franchement que serait devenu cet amour ?
J'ai aussi eu la chance d'aimer une femme, mais ce fut encore un fiasco...Vraiment, la Vie à 2, ne pouvait être en aucune manière une façon de vivre mon existence, et une manière souhaitable de l'éclairer d'une dimension spirituelle que j'aurais recherchée dès l'enfance.
De plus, un évènement effroyable m'aura permis de toucher à l'Invisible, et d'être, au départ de manière très négative, en contact avec lui. Je sous-entends par là que j'ai connu de multiples phénomènes paranormaux et des soucis de santé conjoints qui ont bouleversé mon existence de manière absolue.
Ce qui me frappe chez les Lgtb, c'est à la fois leur jeunesse physique et leur grande immaturité spirituelle.
Quand on a 20 ans et que l'on est mordu par l'ivresse des sens, la vie semble trouver dans cette tendresse animale, sa fonction, sa vérité etc. C'est après que les choses se corsent.
Le monde Gay est obsédé par la jeunesse corporelle et hanté par la déchéance.
On le comprend d'autant qu'il n'y a pas d'issue dans l'homosexualité, il n'existe que des bidouillages : une lesbienne en couple faisant un enfant avec un gay en couple, ce qui fait que l'enfant se retrouvera coincé entre 4 parents. Ce n'est plus la famille, c'est une tribu, un retour à l'âge des cavernes version gaie.
De ce type de comédie, je n'en ai jamais voulu.
Je ris jaune en voyant ces hétéros gay-friendly qui eux ont des gosses, et qui ont leurs potes Gays... mais dont l'union oscille toujours entre fidélité et "je cours voir ailleurs"...Pour cause ! n'ayant pas de finalité,  le désir se poursuit sans but, si ce n'est une quête de plaisir de plus en plus insatiables que la quarantaine ou cnquantaine vient scinder d'un coup.
Ces gay-friendly connaissent en réalité fort mal cette dimension dramatique de l'homosexualité.
Je travaille sur un très long ouvrage, que j'espère singulier, et qui décrit ce lent processus.
J'ai la chance encore, si le fantasme a un temps remplacé une absence totale de sexualité, de ne quasiment plus connaitre les souffrances de la chair.
Je bénis ma solitude, car elle qui fut la Maitresse spirituelle de Marie-Madeleine Davy, selon ses propres termes, m'a permis de me hisser vers d'autres plans...et des recherches d'une toute autre nature. On ne peut être et avoir été !

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