dimanche 9 mai 2010

Midi pétante à la porte de Notre-Dame !


http://www.inter-lgbt.org/spip.php?article99

"L’Inter-LGBT* tient à rappeler que le parvis de Notre-Dame est un espace public, que l’action qui devait s’y dérouler (Kiss-in, ndlr) n’était en rien une provocation anti-religieuse mais la simple manifestation de l’amour que peuvent se porter deux personnes de même sexe, amour qui est reconnu et protégé par la loi de la même manière que l’amour entre deux personnes de sexe différent."

* Memorandum : LGTB, secte stalino-gay christophobiaque du début du 21 ème siècle...

PS : une question à mes ex-amis co-sexuels, vous faites quoi des chrétiens homos ?
Le principe de  TOUTE spiritualité est , je vous le rappelle, celui d'un espace mental et physique où les passions humaines sont mises à l'écart  dans un lieu donné et  pendant un temps déterminé, (une Messe par exemple) afin que chaque croyant considère ce qu'il est en profondeur,  et se relie à la dimension sacrée -ici Christique- qui l'anime...Une église et son environnement sont par définition un espace sacré inviolable !


4 commentaires:

  1. Bien qu'hétéro, ça ne m'aurait pas choquée outre mesure que des homos s'embrassent sur le parvis de Notre Dame. Ce qui me gene en revanche, c'est que certains époux se permettent d'échanger un smack, quand ce n'est pas un baiser mouillé, au moment de la ''paix du Christ''. Quelle complaisance....

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  2. @Edith, la volonyé de choquer est là ! Et même de détruire !

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  3. Le problème c'est que je ne peux plus voir les couples mariés en peinture, ils ont tellement bonne conscience ! En plus il se trouve que ça ne me choque pas de voir deux hommes ou deux femmes s'embrasser (alors que je suis o combien hétéro). Mes 16 années dans le 4ème y sont sans doute pour quelque chose, je me sentais bien dans ce quartier, j'y étais en sécurité. On en reparle, mais un baiser sur la bouche, ce n'est pas porno. Plutot qu'à de la provocation, j'avais pensé qu'un kiss-in devant une église prouvait, mine de rien, que les participants ne se fichaient pas de l'avis de l'Eglise, pour laquelle l'amour homosexuel ne vaut rien, et est un grave péché s'il est consommé.

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  4. PS : les homosexuel(le)s cathos aimeraient avoir l'approbation de l'Eglise, ils ne l'auront jamais et c'est le drame. C'est une situation un peu comparable à celle de tomber amoureu-x-se d'une personne divorcée. L'amour impossible, ça fait très mal.

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