lundi 15 février 2010

Gays et spiritualité : où va t'on ?

Dove andiamo ? Where do we go ?

Les Gays ne sont plus chrétiens désormais, ils épousent les causes d'une spiritualité mondialiste qui rejoint quoi...Le corps, bien sûr ! Voici le genre d'ateliers en Allemagne, où ils s'éclatent, où ils s'expriment, où ils pleurent, où enfin,  si proches de leurs corps, ils vivent en titillant leurs shakras (très dangereux) en allumant le feu de  leur Kundalini, en baisant tantrique version Gay... 
L'Allemagne est en avance dans le domaine bobo-vert-rose, sûr que ces conneries vont finir par se déverser ici aussi...
Chez les Gays, on déchristianise sec, on bouddhise le spirituel, on le matérialise dur ! On se masse, on se caresse en groupe. On s'étreint. On s'extasie. On hurle. On psychologise à fond la caisse, on développe ses facultés  ...GOTT ist Gay...
Quoique, c'est peut-être la bonne réponse, quand on est à la ramasse d'avoir trop écumé les backrooms...
Ainsi, au nom de la spiritualité, ce sont des espèces de partouzes collectives qui tiennent lieu de Rosaires !  C'est chouette, C'est sympa d'être guégué.
"Gaylovespirit", en conclusion, une petite machine à fric, pour homos en peine de coeur, en mal de corps, d'une totale impudicité. La perte d'enracinement de nos concitoyens va certainement entrainer la profusion de ces petites sectes de l'apatrisme 100 pour 100 gay.
Une hérésie qui n'est pas sans faire penser à la fumisterie "chrétienne" d'inspiration pentecôtiste du Renouveau Charismatique qui au moins, elle , était gratuite, mais mensongère.
Ce type d'institution sera favorisé pour briser le "carcan" de deux religions révélées : le Christianisme et ensuite  l'Islam quand la "Gay-Fashion-Attitude" y aura pénétré.
Très malins, les Puissants de ce Monde. On y va par la caresse et la branlette (La sega...and the wank) ...ça produit plus d'effets que par le coup.

http://www.gaylovespirit.org/index_fr.php?PHPSESSID=rc7pl3do209uq1537s4sp1dea6



VOICI LE LIEN D'UN ARTICLE DATANT DE QUELQUES JOURS ET QUE PAR MEGARDE JE N'AVAIS FAIT PARAITRE.

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